Les Parisiens pris pour cible !

Hier à 17h, le club de la capitale se déplaçait à Bastia pour y affronter le club corse à Furiani.

Un déplacement qui n’a pas été de tout repos pour les hommes de Carlo Ancelotti. Arrivés vendredi dans la capitale, les Parisiens n’ont surement pas dû apprécier leur nuit à l’hôtel. En effet, des supporters bastiais se sont amusés à déranger les joueurs parisiens à la veille d’un match sous haute-tension. Ces supporters ont cependant été rapidement délogés par la police qui sécurisait les lieux.

Les choses se sont compliquées le lendemain, à quelques heures du match. Lors de son arrivée au stade, le bus parisien a été la cible de jet de pierres et de cannettes par des supporters corses. Pour éviter tout accident, les joueurs parisiens, qui étaient alors dans le bus, se sont protégés sous leurs sièges.

Arrivé au stade, l’effectif parisien n’a pas été déstabilisé et a largement battu Bastia 4-0. Mais le départ du stade s’annonçait aussi périlleux que l’arrivée.

Les Parisiens ont dû patienter près de 40 minutes, comme l’explique Le Parisien, avant de pouvoir partir. Ce retard s’explique par le fait que la police corse estimait que le trajet vers l’aéroport n’était pas sécurisé. Le bus parisien a d’ailleurs été à nouveau la cible de supporters qui ont balancé une bombe agricole sur le toit du bus.

Aux alentours de 20h, les Parisiens ont finalement pu prendre le bus pour rallier l’aéroport corse, direction Paris.

Le déplacement en Corse du PSG a permis à certains supporters de Bastia de réaliser des actions déplacées et sanctionnables.

Les incidents, qui ont aussi opposé les supporters corses et les forces de l’ordre à l’extérieur de l’enceinte avant et après la rencontre, ne devront pas faire l’objet d’une enquête par la Ligue. Cela s’explique par le fait que ces débordements n’aient pas eu lieus pendant le match et ne se sont pas déroulés dans le stade-même.

Les pouvoirs publics vont donc prendre en charge ce dossier. Une réunion à ce sujet se tiendra d’ailleurs mardi entre le préfet et le président du club qui se rejettent mutuellement la faute.

c'est un coup d'édie 2b

willy80 a écrit:c'est un coup d'édie 2b

Putain je l'avais oublié ce petit cochon corse

et voilà ce qu'il se passe quand on ouvre la ligue1 au tiers monde

Psgwinner a écrit:

willy80 a écrit:c'est un coup d'édie 2b

Putain je l'avais oublié ce petit cochon corse

avia a écrit:et voilà ce qu'il se passe quand on ouvre la ligue1 au tiers monde

tu n'a plus de nouvelle d'édie AVIA

willy80 a écrit:

avia a écrit:et voilà ce qu'il se passe quand on ouvre la ligue1 au tiers monde

tu n'a plus de nouvelle d'édie AVIA

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