Antoine Kombouaré raconte son aventure saoudienne et répond à l’intérêt de Bordeaux
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Antoine Kombouaré raconte son aventure saoudienne et répond à l’intérêt de Bordeaux
Il y a un an presque jour pour jour, Antoine Kombouaré, pourtant leader de Ligue 1, était remercié par les propriétaires du Paris SG. Aujourd’hui, le Kanak a rebondi, du côté d’Al-Hilal en Arabie Saoudite. Et il tutoie toujours les sommets des classements, puisque son écurie est deuxième après 15 journées. Dans L’Équipe, le coach s’est confié sur sa nouvelle expérience. « Je voulais aller à l’étranger pour découvrir autre chose, pour apprendre sur moi, sur les autres. Quand il y a eu Al-Hilal, ça m’a parlé illico. Je pouvais aller dans un très grand club, sportivement ambitieux et avec un aspect financier intéressant. Tout était réuni ici », a-t-il confié avant de poursuivre.
« On doit s’adapter, en fonction des particularités locales, de la religion, des prières. C’est très enrichissant. (...) Je serais intéressé de nous voir contre des équipes de bas de tableau de Ligue 1 comme l’Évian TG, l’AC Ajaccio... Vraiment, je me régale dans le travail, dans la mentalité. Je n’ai jamais poussé une seule gueulante. Ici, il y a pourtant une grosse pression, c’est un club immensément populaire. Quand on descend dans un hôtel, il y a du monde partout, au rez-de-chaussée, dans les couloirs... On s’entraîne dans un vrai stade et les supporters peuvent venir tous les jours. C’est magnifique. (...) Les conditions sont fantastiques », a-t-il résumé. Autant dire qu’il se sent très bien en Arabie Saoudite.
« Je suis très, très heureux et je ne sais pas mentir. Je continue mon aventure professionnelle et humaine », a-t-il déclaré. Au point de dire non à une éventuelle offre des Girondins de Bordeaux qui pensent à lui en cas de départ de Francis Gillot ? « Aujourd’hui, j’aimerais rester, car il y a aussi les quarts de finale de la Ligue des Champions à partir de septembre. La "C1", c’est quelque chose ici. Vous pouvez rencontrer des clubs coréens, australiens... pour les matches de groupe, on va déjà aller au Qatar, aux Émirats et en Iran », a-t-il indiqué, revenant ensuite sur son départ du PSG avec un recul étonnant.
« Le PSG n’est pas le club de Kombouaré ou d’Ancelotti. Dans ce travail, il y a un début et toujours une fin », a-t-il lancé avant de poursuivre. « Dès le départ, il était logique que des investisseurs viennent avec leurs hommes. Et leur première décision, dans ce cas, c’est de prendre les postes clés de président et d’entraîneur pour mener à bien leur projet. (...) Je considère qu’il n’y a pas d’échec. Tout ce qui m’est arrivé participe de la construction d’un homme dont le métier est d’entraîner », a-t-il conclu. Loin d’être amer, Antoine Kombouaré savoure le bonheur simple d’être en fonction.
Bon ak je l aime bien,mais dire qu il est dans un tres grand club en arabie saoudite...
disons qu il a voulu touché de la thune,ce qu il a parfaitement le droit,mais l intéret sportif...
« On doit s’adapter, en fonction des particularités locales, de la religion, des prières. C’est très enrichissant. (...) Je serais intéressé de nous voir contre des équipes de bas de tableau de Ligue 1 comme l’Évian TG, l’AC Ajaccio... Vraiment, je me régale dans le travail, dans la mentalité. Je n’ai jamais poussé une seule gueulante. Ici, il y a pourtant une grosse pression, c’est un club immensément populaire. Quand on descend dans un hôtel, il y a du monde partout, au rez-de-chaussée, dans les couloirs... On s’entraîne dans un vrai stade et les supporters peuvent venir tous les jours. C’est magnifique. (...) Les conditions sont fantastiques », a-t-il résumé. Autant dire qu’il se sent très bien en Arabie Saoudite.
« Je suis très, très heureux et je ne sais pas mentir. Je continue mon aventure professionnelle et humaine », a-t-il déclaré. Au point de dire non à une éventuelle offre des Girondins de Bordeaux qui pensent à lui en cas de départ de Francis Gillot ? « Aujourd’hui, j’aimerais rester, car il y a aussi les quarts de finale de la Ligue des Champions à partir de septembre. La "C1", c’est quelque chose ici. Vous pouvez rencontrer des clubs coréens, australiens... pour les matches de groupe, on va déjà aller au Qatar, aux Émirats et en Iran », a-t-il indiqué, revenant ensuite sur son départ du PSG avec un recul étonnant.
« Le PSG n’est pas le club de Kombouaré ou d’Ancelotti. Dans ce travail, il y a un début et toujours une fin », a-t-il lancé avant de poursuivre. « Dès le départ, il était logique que des investisseurs viennent avec leurs hommes. Et leur première décision, dans ce cas, c’est de prendre les postes clés de président et d’entraîneur pour mener à bien leur projet. (...) Je considère qu’il n’y a pas d’échec. Tout ce qui m’est arrivé participe de la construction d’un homme dont le métier est d’entraîner », a-t-il conclu. Loin d’être amer, Antoine Kombouaré savoure le bonheur simple d’être en fonction.
Bon ak je l aime bien,mais dire qu il est dans un tres grand club en arabie saoudite...
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