Aprés Luyindula....

Ronan Le Crom (37 ans) a prolongé son contrat d'une saison avec le PSG. Le gardien arrivé à Paris l'hiver dernier est désormais sous contrat avec le club de la capitale jusqu'en 2013. Il restera le quatrième homme dans la hiérarchie des portiers parisiens, derrière Salvatore Sirigu, Nicolas Douchez et Alphonse Areola.

Et hop, un emploi fictif de plus remarque, je m'en fout, c'est pas moi qui payes ...

koka a écrit:Et hop, un emploi fictif de plus remarque, je m'en fout, c'est pas moi qui payes ...

il ya meme 2 mecs depuis ancelotti qui sont payé pour ramasser les ballons

l'article du Parisien qui en parle
Certains dénonceront une forme d’exploitation. D’autres adoreraient avoir ce petit job de rêve qui permet de côtoyer les stars parisiennes. Depuis un peu plus d’un mois, deux éducateurs bénévoles du PSG sont employés à mi-temps au camp des Loges. Leur rôle? Installer le matériel et, surtout, ramasser les ballons pendant les séances d’entraînement.
Le staff les a surnommés les « ball boys ».

L’un d’eux, Jimmy Korr, 33 ans, a évolué en défense centrale avec la réserve du PSG avant de porter les couleurs de Poissy et du Red Star. « Le club ne m’autorise pas à parler à la presse », précise-t-il. Avoir deux personnes chargées de rapporter les ballons aux entraîneurs ou aux joueurs, voilà un luxe que peu d’équipes peuvent se permettre.

En France, seul l’OM compte ce type d’employés. Dans les grands clubs européens, en revanche, c’est entré depuis longtemps dans les mœurs. A Chelsea, cette mission est confiée à des étudiants, ravis d’assister aux entraînements en échange de quelques dizaines de livres. Le PSG a préféré créer deux emplois à mi-temps. « C’est une des premières choses qu’a demandées Carlo Ancelotti, note un employé du club. Il part du principe que rien ne doit le distraire, lui et ses adjoints, de l’observation des entraînements. »

Un staff de 16 personnes pour encadrer 24 joueurs

C’est exactement ce qu’expliquait Leonardo dans nos colonnes le 25 février. « Dans le foot, tout le monde fait la même chose à 80%. C’est sur les 20% restants qu’on peut faire la différence. Cette gestion au millimètre, c’est ce que fait le staff aujourd’hui. »

Un chiffre résume ce souci du détail : désormais, afin d’encadrer les 24 joueurs professionnels, on dénombre 16 personnes! Et le rôle des ball boys n’est pas aussi anecdotique qu’on peut le croire. Pendant les petites oppositions, ils doivent, dès qu’un ballon sort de l’aire de jeu, en donner un autre immédiatement aux joueurs. « L’idée, c’est d’empêcher la baisse du rythme cardiaque des joueurs, explique un membre du staff technique. Pendant un exercice, il ne faut pas perdre la moindre seconde à attendre qu’on récupère le ballon. » Le nouveau PSG se veut perfectionniste et ne néglige aucun détail. Seuls les résultats diront si les ball boys d’Ancelotti sont superflus ou nécessaires.

Le Parisien