Riolo répond au gros Ménes
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Riolo répond au gros Ménes
Daniel Riolo, via son blog personnel, a donné son point de vue sur le schéma tactique mis en place par l’entraineur parisien Carlo Ancelotti. Si certains trouvent son dispositif avec trois milieux de terrain très défensif, le journaliste de RMC est quant à lui d’un avis contraire et n’a pas hésité à le faire savoir à sa façon.
« Suite au PSG/Montpellier de dimanche, le débat autour du « jeu » s’est enflammé. A la tête du PSG depuis moins de deux mois et sept matches, Ancelotti est accusé de faire « mal jouer » son équipe. Une mise au point s’impose… « Le jeu du PSG est insipide car Ancelotti est un bétonneur ». Voilà en version à peine exagérée le commentaire entendu dimanche soir suite au sommet de la J24. Le propos est absolument délirant. Tout dans le passé de ce coach (influence, carrière) montre le contraire. Quant au présent, je signalais ici récemment que depuis qu’il est à Paris, le PSG avait marqué plus de buts que ce Montpellier que certains commentateurs ne vont pas tarder à comparer au Barça. Passons sur ces polémiques et ces avis dénués de raison et d’objectivité, motivés par des petits calculs d’épicier démago. Une sorte de cocktail entre anti-PSG, anti-oseille, culture Astérix bref le meilleur de la culture franchouillarde façon Dupont-Lajoie. Si on ajoute à ça l’élément guerre des chaînes, on n’est pas loin de toucher le fond… A la recherche de la meilleure formule, en pleine réflexion et construction d’équipe, Ancelotti n’est pas plus « défensif » que Mourinho, Hiddink, Ferguson, Capello, Lippi, Benitez ou encore Deschamps. Leur vision du jeu est globalement similaire. Elle tend vers ce que l’on pourrait appeler un pragmatisme de circonstance. Ancelotti peut même citer Sacchi comme maître (il a été son assistant) qui jusqu’à preuve du contraire était tout sauf un maçon. Reste qu’aujourd’hui, tout autre projet de jeu que celui du Barça, est grossièrement assimilé à un verrou obscène. Le PSG a aligné trois milieux défensifs devant Montpellier ! Horreur ! Mais qui a parlé de la nature des joueurs alignés, de ce qu’ils peuvent et savent faire ? Du mouvement global de l’équipe ? Peut-on aller au-delà d’une étiquette, d’un numéro, le 6, devenu visiblement maudit ? Quand Garcia aligne Pedretti, Mavuba et Balmont, le « Barça » du nord est-il honteux ? Et que dire d’un duo MBia/Diarra ? Pire d’un trio Lass/Alonso/Pepe, largement critiqué ici ? Et le jeu de Naples, souvent félicité dans les médias (le concept d’équipe sympa) axé sur le contre ? Les exemples sont légion et soyons clair, l’idée Barça existe peu. Bielsa, Wenger, Gourcuff chez nous, Luis Enrique, Van Gaal. C’est radical, sans concession, une sorte de dictature du beau jeu. L’idée existe donc mais elle n’est pas toujours gage de réussite. Et hors ce projet, qu’on se le dise, le salut existe. Certes, on peut difficilement parler de projet de jeu dans le foot moderne. C’est plus la gestion d’un groupe dans le but d’une efficacité maximale répondant à une exigence de résultats. Une équipe est alors composée d’individualités, plus ou moins fortes selon les moyens financiers du club. Le coach apparaît souvent comme un DRH. Tous indiquent que le travail sur l’humain représente 70% de leur activité. L’entraîneur au passé glorieux sera respecté, aura les bons réseaux et parviendra au binôme magique : crédibilité/légitimité. Ça n’a l’air de rien, mais aujourd’hui sans ce moteur, on n’obtient rien des joueurs. On est là dans la recherche du groupe qui « vit bien », prêt pour la fameuse « aventure humaine ». En face, les radicaux du « beau jeu » dont l’entreprise est plus périlleuse vont préférer toujours le jeune joueur, malléable car sans statut. Le jeu donc ? Tous les coaches vont parler de possession, de vitesse, de verticalité. Des choses évidemment plus aisées à mettre en place avec des joueurs techniques. Avec des éléments dits « décisifs », on est alors à la tête d’une équipe qui vise les titres. Qui peut dire et selon quels critères, qu’aujourd’hui Milan/le Real/Man City/Man Utd/Chelsea ou encore le Bayern… jouent bien ? Le profil de ces équipes est similaire. Des grands clubs, des très bons joueurs et une différence à chercher dans les 70% évoqués plus haut. L’OM de Deschamps aspire à faire partie de ce groupe. Le PSG d’Ancelotti aussi. Dans un entretien de Nene à FF, on lui demande si jouer avec trois récupérateurs face à Montpellier bla bla… On touche là un problème grave de notre culture française. Comment peut-on décemment parler de milieu récupérateur quand on évoque Motta ? Ce concept de récupérateur est affreux et signifie selon moi qu’on ne parle pas de joueurs de foot. D’athlètes peut-être mais pas de footeux ! Et je veux bien être pendu si Motta n’est pas un joueur de foot. Dans quel autre pays on énonce une compo d’équipe en disant « à la récupération »… A la récupération, Pirlo ? A la récupération Scholes ? Ce mot-là a eu son ambassadeur pendant longtemps chez les Bleus : Toulalan. Pourtant, ceux qui ont connu ce joueur à Nantes savent que c’était un joueur d’une grande finesse, capable d’organiser le jeu. Tout le contraire de ce qu’on a vu en EDF où la passe devant lui, l’expression de ses réelles qualités, lui semblait représenter un risque insupportable. La prise de risque assumée, la technique maîtrisée, la force mentale (gestion de l’environnement/pression/relâchement comme on dit au tennis), voilà les derniers éléments que le coach doit parvenir à trouver chez ses joueurs. Le Barça excelle dans ce domaine, le Real aussi, sauf contre le Barça… Et pour finir sur l’idée du risque, il faut être bien naïf pour considérer que l’ambition ultime se détermine en fonction du nombre d’attaquants alignés. Sans la prise en compte de tous ces éléments, le débat sur le jeu dévie pour tomber trop souvent sur des querelles dénuées de sens. Continuer à dire qu’Ancelotti est un bétonneur ou que le PSG joue avec trois récupérateurs, entretenir ces mensonges, c’est friser avec le degré zéro de l’analyse foot… »
Je suis en total accord avec lui .Le gros Ménes va nous saouler jusqu' a la fin de saison a dire qu' ancelotti est un bétonneur.On a une équipe en reconstruction , il faut pas s attendre a un jeu super fluide.Déja depuis l arrivée d Ancelotti , l équipe n est plus coupée en deux comme c était le cas avec A.K.
A noter qu' Ancelotti est tellement un bétonneur qu on marque plus de but en moyenne qu ' avec A.K. Toute façon ceux qui critiquaient le fait que l équipe était coupée en 2 avec A.K sont les memes qui disent que Paris bétonnent maintenant.
Je veux bien qu on critique notre club mais j aimerais qu on souligne aussi ce qui marche bien .Or on parle toujours que des cotés négatifs .A croire qu on ferait des jaloux
« Suite au PSG/Montpellier de dimanche, le débat autour du « jeu » s’est enflammé. A la tête du PSG depuis moins de deux mois et sept matches, Ancelotti est accusé de faire « mal jouer » son équipe. Une mise au point s’impose… « Le jeu du PSG est insipide car Ancelotti est un bétonneur ». Voilà en version à peine exagérée le commentaire entendu dimanche soir suite au sommet de la J24. Le propos est absolument délirant. Tout dans le passé de ce coach (influence, carrière) montre le contraire. Quant au présent, je signalais ici récemment que depuis qu’il est à Paris, le PSG avait marqué plus de buts que ce Montpellier que certains commentateurs ne vont pas tarder à comparer au Barça. Passons sur ces polémiques et ces avis dénués de raison et d’objectivité, motivés par des petits calculs d’épicier démago. Une sorte de cocktail entre anti-PSG, anti-oseille, culture Astérix bref le meilleur de la culture franchouillarde façon Dupont-Lajoie. Si on ajoute à ça l’élément guerre des chaînes, on n’est pas loin de toucher le fond… A la recherche de la meilleure formule, en pleine réflexion et construction d’équipe, Ancelotti n’est pas plus « défensif » que Mourinho, Hiddink, Ferguson, Capello, Lippi, Benitez ou encore Deschamps. Leur vision du jeu est globalement similaire. Elle tend vers ce que l’on pourrait appeler un pragmatisme de circonstance. Ancelotti peut même citer Sacchi comme maître (il a été son assistant) qui jusqu’à preuve du contraire était tout sauf un maçon. Reste qu’aujourd’hui, tout autre projet de jeu que celui du Barça, est grossièrement assimilé à un verrou obscène. Le PSG a aligné trois milieux défensifs devant Montpellier ! Horreur ! Mais qui a parlé de la nature des joueurs alignés, de ce qu’ils peuvent et savent faire ? Du mouvement global de l’équipe ? Peut-on aller au-delà d’une étiquette, d’un numéro, le 6, devenu visiblement maudit ? Quand Garcia aligne Pedretti, Mavuba et Balmont, le « Barça » du nord est-il honteux ? Et que dire d’un duo MBia/Diarra ? Pire d’un trio Lass/Alonso/Pepe, largement critiqué ici ? Et le jeu de Naples, souvent félicité dans les médias (le concept d’équipe sympa) axé sur le contre ? Les exemples sont légion et soyons clair, l’idée Barça existe peu. Bielsa, Wenger, Gourcuff chez nous, Luis Enrique, Van Gaal. C’est radical, sans concession, une sorte de dictature du beau jeu. L’idée existe donc mais elle n’est pas toujours gage de réussite. Et hors ce projet, qu’on se le dise, le salut existe. Certes, on peut difficilement parler de projet de jeu dans le foot moderne. C’est plus la gestion d’un groupe dans le but d’une efficacité maximale répondant à une exigence de résultats. Une équipe est alors composée d’individualités, plus ou moins fortes selon les moyens financiers du club. Le coach apparaît souvent comme un DRH. Tous indiquent que le travail sur l’humain représente 70% de leur activité. L’entraîneur au passé glorieux sera respecté, aura les bons réseaux et parviendra au binôme magique : crédibilité/légitimité. Ça n’a l’air de rien, mais aujourd’hui sans ce moteur, on n’obtient rien des joueurs. On est là dans la recherche du groupe qui « vit bien », prêt pour la fameuse « aventure humaine ». En face, les radicaux du « beau jeu » dont l’entreprise est plus périlleuse vont préférer toujours le jeune joueur, malléable car sans statut. Le jeu donc ? Tous les coaches vont parler de possession, de vitesse, de verticalité. Des choses évidemment plus aisées à mettre en place avec des joueurs techniques. Avec des éléments dits « décisifs », on est alors à la tête d’une équipe qui vise les titres. Qui peut dire et selon quels critères, qu’aujourd’hui Milan/le Real/Man City/Man Utd/Chelsea ou encore le Bayern… jouent bien ? Le profil de ces équipes est similaire. Des grands clubs, des très bons joueurs et une différence à chercher dans les 70% évoqués plus haut. L’OM de Deschamps aspire à faire partie de ce groupe. Le PSG d’Ancelotti aussi. Dans un entretien de Nene à FF, on lui demande si jouer avec trois récupérateurs face à Montpellier bla bla… On touche là un problème grave de notre culture française. Comment peut-on décemment parler de milieu récupérateur quand on évoque Motta ? Ce concept de récupérateur est affreux et signifie selon moi qu’on ne parle pas de joueurs de foot. D’athlètes peut-être mais pas de footeux ! Et je veux bien être pendu si Motta n’est pas un joueur de foot. Dans quel autre pays on énonce une compo d’équipe en disant « à la récupération »… A la récupération, Pirlo ? A la récupération Scholes ? Ce mot-là a eu son ambassadeur pendant longtemps chez les Bleus : Toulalan. Pourtant, ceux qui ont connu ce joueur à Nantes savent que c’était un joueur d’une grande finesse, capable d’organiser le jeu. Tout le contraire de ce qu’on a vu en EDF où la passe devant lui, l’expression de ses réelles qualités, lui semblait représenter un risque insupportable. La prise de risque assumée, la technique maîtrisée, la force mentale (gestion de l’environnement/pression/relâchement comme on dit au tennis), voilà les derniers éléments que le coach doit parvenir à trouver chez ses joueurs. Le Barça excelle dans ce domaine, le Real aussi, sauf contre le Barça… Et pour finir sur l’idée du risque, il faut être bien naïf pour considérer que l’ambition ultime se détermine en fonction du nombre d’attaquants alignés. Sans la prise en compte de tous ces éléments, le débat sur le jeu dévie pour tomber trop souvent sur des querelles dénuées de sens. Continuer à dire qu’Ancelotti est un bétonneur ou que le PSG joue avec trois récupérateurs, entretenir ces mensonges, c’est friser avec le degré zéro de l’analyse foot… »
Je suis en total accord avec lui .Le gros Ménes va nous saouler jusqu' a la fin de saison a dire qu' ancelotti est un bétonneur.On a une équipe en reconstruction , il faut pas s attendre a un jeu super fluide.Déja depuis l arrivée d Ancelotti , l équipe n est plus coupée en deux comme c était le cas avec A.K.
A noter qu' Ancelotti est tellement un bétonneur qu on marque plus de but en moyenne qu ' avec A.K. Toute façon ceux qui critiquaient le fait que l équipe était coupée en 2 avec A.K sont les memes qui disent que Paris bétonnent maintenant.
Je veux bien qu on critique notre club mais j aimerais qu on souligne aussi ce qui marche bien .Or on parle toujours que des cotés négatifs .A croire qu on ferait des jaloux
diego lugano- Messages : 154
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: Riolo répond au gros Ménes
Bonne réponse de Riolo mais ça ne sert à rien, les gens ont envie de s'acharner sur le PSG et ils le feraient même si on gagnait tous nos matchs 5/0...
C'est comme ça depuis des années et ce sera encore le cas pendant un bon bout de temps. Faut juste savoir passer outre.
C'est comme ça depuis des années et ce sera encore le cas pendant un bon bout de temps. Faut juste savoir passer outre.
Paaauleta- Messages : 1204
Date d'inscription : 09/12/2011
Age : 34
Localisation : Toulouse
Re: Riolo répond au gros Ménes
Paaauleta a écrit:Bonne réponse de Riolo mais ça ne sert à rien, les gens ont envie de s'acharner sur le PSG et ils le feraient même si on gagnait tous nos matchs 5/0...
C'est comme ça depuis des années et ce sera encore le cas pendant un bon bout de temps. Faut juste savoir passer outre.
Oui mais c est quand meme bien énervant vu que l arrivée des quataris au club est une chance exceptionnel pour le football francais, Ca va tirer tout les autres vers le haut.Et la on a limpression que ca fait chié tout le monde.
diego lugano- Messages : 154
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: Riolo répond au gros Ménes
diego lugano a écrit:Paaauleta a écrit:Bonne réponse de Riolo mais ça ne sert à rien, les gens ont envie de s'acharner sur le PSG et ils le feraient même si on gagnait tous nos matchs 5/0...
C'est comme ça depuis des années et ce sera encore le cas pendant un bon bout de temps. Faut juste savoir passer outre.
Oui mais c est quand meme bien énervant vu que l arrivée des quataris au club est une chance exceptionnel pour le football francais, Ca va tirer tout les autres vers le haut.Et la on a limpression que ca fait chié tout le monde.
Ah ça on est bien d'accord que c'est énervant, mais je pense que ce sera comme ça encore un petit bout de temps et que la meilleure façon de réagir c'est d'ignorer les critiques à mon avis. Sinon c'est un coup à finir aigri
Paaauleta- Messages : 1204
Date d'inscription : 09/12/2011
Age : 34
Localisation : Toulouse
Re: Riolo répond au gros Ménes
Paaauleta a écrit:diego lugano a écrit:Paaauleta a écrit:Bonne réponse de Riolo mais ça ne sert à rien, les gens ont envie de s'acharner sur le PSG et ils le feraient même si on gagnait tous nos matchs 5/0...
C'est comme ça depuis des années et ce sera encore le cas pendant un bon bout de temps. Faut juste savoir passer outre.
Oui mais c est quand meme bien énervant vu que l arrivée des quataris au club est une chance exceptionnel pour le football francais, Ca va tirer tout les autres vers le haut.Et la on a limpression que ca fait chié tout le monde.
Ah ça on est bien d'accord que c'est énervant, mais je pense que ce sera comme ça encore un petit bout de temps et que la meilleure façon de réagir c'est d'ignorer les critiques à mon avis. Sinon c'est un coup à finir aigri
Je pense que quand on va montré qu on peut gagner la LDC, il va y avoir pas de retournages de vestes, j attends ce moment avec impatience .Perso depuis le temps que j attendait qu on ait de l argent , je m en tape des critiques .Il faut des stars a paris et on va les avoir .
diego lugano- Messages : 154
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: Riolo répond au gros Ménes
Faut pas les écouter. Faut jouer comme Ancelotti dit: il a l'experience donc pas de panique. Les autres nous lécheront les pieds dans 6 mois.
Invité- Invité
Re: Riolo répond au gros Ménes
guigui57 a écrit:Faut pas les écouter. Faut jouer comme Ancelotti dit: il a l'experience donc pas de panique. Les autres nous lécheront les pieds dans 6 mois.
Oui puis il faut pas oublié qu il y pas si longemps on s est sauvé a la derniere journée de la descente en L2.Donc maintenant ce qui arrive c est que du bonheur , on va enfin l avoir notre grande équipes.Peut etre meme la plus belle qu on a jamais eu. .
diego lugano- Messages : 154
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: Riolo répond au gros Ménes
diego lugano a écrit:Daniel Riolo, via son blog personnel, a donné son point de vue sur le schéma tactique mis en place par l’entraineur parisien Carlo Ancelotti. Si certains trouvent son dispositif avec trois milieux de terrain très défensif, le journaliste de RMC est quant à lui d’un avis contraire et n’a pas hésité à le faire savoir à sa façon.
« Suite au PSG/Montpellier de dimanche, le débat autour du « jeu » s’est enflammé. A la tête du PSG depuis moins de deux mois et sept matches, Ancelotti est accusé de faire « mal jouer » son équipe. Une mise au point s’impose… « Le jeu du PSG est insipide car Ancelotti est un bétonneur ». Voilà en version à peine exagérée le commentaire entendu dimanche soir suite au sommet de la J24. Le propos est absolument délirant. Tout dans le passé de ce coach (influence, carrière) montre le contraire. Quant au présent, je signalais ici récemment que depuis qu’il est à Paris, le PSG avait marqué plus de buts que ce Montpellier que certains commentateurs ne vont pas tarder à comparer au Barça. Passons sur ces polémiques et ces avis dénués de raison et d’objectivité, motivés par des petits calculs d’épicier démago. Une sorte de cocktail entre anti-PSG, anti-oseille, culture Astérix bref le meilleur de la culture franchouillarde façon Dupont-Lajoie. Si on ajoute à ça l’élément guerre des chaînes, on n’est pas loin de toucher le fond… A la recherche de la meilleure formule, en pleine réflexion et construction d’équipe, Ancelotti n’est pas plus « défensif » que Mourinho, Hiddink, Ferguson, Capello, Lippi, Benitez ou encore Deschamps. Leur vision du jeu est globalement similaire. Elle tend vers ce que l’on pourrait appeler un pragmatisme de circonstance. Ancelotti peut même citer Sacchi comme maître (il a été son assistant) qui jusqu’à preuve du contraire était tout sauf un maçon. Reste qu’aujourd’hui, tout autre projet de jeu que celui du Barça, est grossièrement assimilé à un verrou obscène. Le PSG a aligné trois milieux défensifs devant Montpellier ! Horreur ! Mais qui a parlé de la nature des joueurs alignés, de ce qu’ils peuvent et savent faire ? Du mouvement global de l’équipe ? Peut-on aller au-delà d’une étiquette, d’un numéro, le 6, devenu visiblement maudit ? Quand Garcia aligne Pedretti, Mavuba et Balmont, le « Barça » du nord est-il honteux ? Et que dire d’un duo MBia/Diarra ? Pire d’un trio Lass/Alonso/Pepe, largement critiqué ici ? Et le jeu de Naples, souvent félicité dans les médias (le concept d’équipe sympa) axé sur le contre ? Les exemples sont légion et soyons clair, l’idée Barça existe peu. Bielsa, Wenger, Gourcuff chez nous, Luis Enrique, Van Gaal. C’est radical, sans concession, une sorte de dictature du beau jeu. L’idée existe donc mais elle n’est pas toujours gage de réussite. Et hors ce projet, qu’on se le dise, le salut existe. Certes, on peut difficilement parler de projet de jeu dans le foot moderne. C’est plus la gestion d’un groupe dans le but d’une efficacité maximale répondant à une exigence de résultats. Une équipe est alors composée d’individualités, plus ou moins fortes selon les moyens financiers du club. Le coach apparaît souvent comme un DRH. Tous indiquent que le travail sur l’humain représente 70% de leur activité. L’entraîneur au passé glorieux sera respecté, aura les bons réseaux et parviendra au binôme magique : crédibilité/légitimité. Ça n’a l’air de rien, mais aujourd’hui sans ce moteur, on n’obtient rien des joueurs. On est là dans la recherche du groupe qui « vit bien », prêt pour la fameuse « aventure humaine ». En face, les radicaux du « beau jeu » dont l’entreprise est plus périlleuse vont préférer toujours le jeune joueur, malléable car sans statut. Le jeu donc ? Tous les coaches vont parler de possession, de vitesse, de verticalité. Des choses évidemment plus aisées à mettre en place avec des joueurs techniques. Avec des éléments dits « décisifs », on est alors à la tête d’une équipe qui vise les titres. Qui peut dire et selon quels critères, qu’aujourd’hui Milan/le Real/Man City/Man Utd/Chelsea ou encore le Bayern… jouent bien ? Le profil de ces équipes est similaire. Des grands clubs, des très bons joueurs et une différence à chercher dans les 70% évoqués plus haut. L’OM de Deschamps aspire à faire partie de ce groupe. Le PSG d’Ancelotti aussi. Dans un entretien de Nene à FF, on lui demande si jouer avec trois récupérateurs face à Montpellier bla bla… On touche là un problème grave de notre culture française. Comment peut-on décemment parler de milieu récupérateur quand on évoque Motta ? Ce concept de récupérateur est affreux et signifie selon moi qu’on ne parle pas de joueurs de foot. D’athlètes peut-être mais pas de footeux ! Et je veux bien être pendu si Motta n’est pas un joueur de foot. Dans quel autre pays on énonce une compo d’équipe en disant « à la récupération »… A la récupération, Pirlo ? A la récupération Scholes ? Ce mot-là a eu son ambassadeur pendant longtemps chez les Bleus : Toulalan. Pourtant, ceux qui ont connu ce joueur à Nantes savent que c’était un joueur d’une grande finesse, capable d’organiser le jeu. Tout le contraire de ce qu’on a vu en EDF où la passe devant lui, l’expression de ses réelles qualités, lui semblait représenter un risque insupportable. La prise de risque assumée, la technique maîtrisée, la force mentale (gestion de l’environnement/pression/relâchement comme on dit au tennis), voilà les derniers éléments que le coach doit parvenir à trouver chez ses joueurs. Le Barça excelle dans ce domaine, le Real aussi, sauf contre le Barça… Et pour finir sur l’idée du risque, il faut être bien naïf pour considérer que l’ambition ultime se détermine en fonction du nombre d’attaquants alignés. Sans la prise en compte de tous ces éléments, le débat sur le jeu dévie pour tomber trop souvent sur des querelles dénuées de sens. Continuer à dire qu’Ancelotti est un bétonneur ou que le PSG joue avec trois récupérateurs, entretenir ces mensonges, c’est friser avec le degré zéro de l’analyse foot… »
Je suis en total accord avec lui .Le gros Ménes va nous saouler jusqu' a la fin de saison a dire qu' ancelotti est un bétonneur.On a une équipe en reconstruction , il faut pas s attendre a un jeu super fluide.Déja depuis l arrivée d Ancelotti , l équipe n est plus coupée en deux comme c était le cas avec A.K.
A noter qu' Ancelotti est tellement un bétonneur qu on marque plus de but en moyenne qu ' avec A.K. Toute façon ceux qui critiquaient le fait que l équipe était coupée en 2 avec A.K sont les memes qui disent que Paris bétonnent maintenant.
Je veux bien qu on critique notre club mais j aimerais qu on souligne aussi ce qui marche bien .Or on parle toujours que des cotés négatifs .A croire qu on ferait des jaloux
de toute façon on fera jamais l unanimité.et je pense que l arrivée du qatar a fait encore plus de jaloux.
maintenant je trouve idiot qu on compare le bilan de ak et ancelotti,puisqu il s n ont pas fait le meme nombre de matchs...bref.
ceci étant dit j attends d ici la fin de saison de l amélioration dans le jeu,car la depuis quelques matchs on est pas bien,ça c est plutot inquiétant.
Invité- Invité
Re: Riolo répond au gros Ménes
allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:Daniel Riolo, via son blog personnel, a donné son point de vue sur le schéma tactique mis en place par l’entraineur parisien Carlo Ancelotti. Si certains trouvent son dispositif avec trois milieux de terrain très défensif, le journaliste de RMC est quant à lui d’un avis contraire et n’a pas hésité à le faire savoir à sa façon.
« Suite au PSG/Montpellier de dimanche, le débat autour du « jeu » s’est enflammé. A la tête du PSG depuis moins de deux mois et sept matches, Ancelotti est accusé de faire « mal jouer » son équipe. Une mise au point s’impose… « Le jeu du PSG est insipide car Ancelotti est un bétonneur ». Voilà en version à peine exagérée le commentaire entendu dimanche soir suite au sommet de la J24. Le propos est absolument délirant. Tout dans le passé de ce coach (influence, carrière) montre le contraire. Quant au présent, je signalais ici récemment que depuis qu’il est à Paris, le PSG avait marqué plus de buts que ce Montpellier que certains commentateurs ne vont pas tarder à comparer au Barça. Passons sur ces polémiques et ces avis dénués de raison et d’objectivité, motivés par des petits calculs d’épicier démago. Une sorte de cocktail entre anti-PSG, anti-oseille, culture Astérix bref le meilleur de la culture franchouillarde façon Dupont-Lajoie. Si on ajoute à ça l’élément guerre des chaînes, on n’est pas loin de toucher le fond… A la recherche de la meilleure formule, en pleine réflexion et construction d’équipe, Ancelotti n’est pas plus « défensif » que Mourinho, Hiddink, Ferguson, Capello, Lippi, Benitez ou encore Deschamps. Leur vision du jeu est globalement similaire. Elle tend vers ce que l’on pourrait appeler un pragmatisme de circonstance. Ancelotti peut même citer Sacchi comme maître (il a été son assistant) qui jusqu’à preuve du contraire était tout sauf un maçon. Reste qu’aujourd’hui, tout autre projet de jeu que celui du Barça, est grossièrement assimilé à un verrou obscène. Le PSG a aligné trois milieux défensifs devant Montpellier ! Horreur ! Mais qui a parlé de la nature des joueurs alignés, de ce qu’ils peuvent et savent faire ? Du mouvement global de l’équipe ? Peut-on aller au-delà d’une étiquette, d’un numéro, le 6, devenu visiblement maudit ? Quand Garcia aligne Pedretti, Mavuba et Balmont, le « Barça » du nord est-il honteux ? Et que dire d’un duo MBia/Diarra ? Pire d’un trio Lass/Alonso/Pepe, largement critiqué ici ? Et le jeu de Naples, souvent félicité dans les médias (le concept d’équipe sympa) axé sur le contre ? Les exemples sont légion et soyons clair, l’idée Barça existe peu. Bielsa, Wenger, Gourcuff chez nous, Luis Enrique, Van Gaal. C’est radical, sans concession, une sorte de dictature du beau jeu. L’idée existe donc mais elle n’est pas toujours gage de réussite. Et hors ce projet, qu’on se le dise, le salut existe. Certes, on peut difficilement parler de projet de jeu dans le foot moderne. C’est plus la gestion d’un groupe dans le but d’une efficacité maximale répondant à une exigence de résultats. Une équipe est alors composée d’individualités, plus ou moins fortes selon les moyens financiers du club. Le coach apparaît souvent comme un DRH. Tous indiquent que le travail sur l’humain représente 70% de leur activité. L’entraîneur au passé glorieux sera respecté, aura les bons réseaux et parviendra au binôme magique : crédibilité/légitimité. Ça n’a l’air de rien, mais aujourd’hui sans ce moteur, on n’obtient rien des joueurs. On est là dans la recherche du groupe qui « vit bien », prêt pour la fameuse « aventure humaine ». En face, les radicaux du « beau jeu » dont l’entreprise est plus périlleuse vont préférer toujours le jeune joueur, malléable car sans statut. Le jeu donc ? Tous les coaches vont parler de possession, de vitesse, de verticalité. Des choses évidemment plus aisées à mettre en place avec des joueurs techniques. Avec des éléments dits « décisifs », on est alors à la tête d’une équipe qui vise les titres. Qui peut dire et selon quels critères, qu’aujourd’hui Milan/le Real/Man City/Man Utd/Chelsea ou encore le Bayern… jouent bien ? Le profil de ces équipes est similaire. Des grands clubs, des très bons joueurs et une différence à chercher dans les 70% évoqués plus haut. L’OM de Deschamps aspire à faire partie de ce groupe. Le PSG d’Ancelotti aussi. Dans un entretien de Nene à FF, on lui demande si jouer avec trois récupérateurs face à Montpellier bla bla… On touche là un problème grave de notre culture française. Comment peut-on décemment parler de milieu récupérateur quand on évoque Motta ? Ce concept de récupérateur est affreux et signifie selon moi qu’on ne parle pas de joueurs de foot. D’athlètes peut-être mais pas de footeux ! Et je veux bien être pendu si Motta n’est pas un joueur de foot. Dans quel autre pays on énonce une compo d’équipe en disant « à la récupération »… A la récupération, Pirlo ? A la récupération Scholes ? Ce mot-là a eu son ambassadeur pendant longtemps chez les Bleus : Toulalan. Pourtant, ceux qui ont connu ce joueur à Nantes savent que c’était un joueur d’une grande finesse, capable d’organiser le jeu. Tout le contraire de ce qu’on a vu en EDF où la passe devant lui, l’expression de ses réelles qualités, lui semblait représenter un risque insupportable. La prise de risque assumée, la technique maîtrisée, la force mentale (gestion de l’environnement/pression/relâchement comme on dit au tennis), voilà les derniers éléments que le coach doit parvenir à trouver chez ses joueurs. Le Barça excelle dans ce domaine, le Real aussi, sauf contre le Barça… Et pour finir sur l’idée du risque, il faut être bien naïf pour considérer que l’ambition ultime se détermine en fonction du nombre d’attaquants alignés. Sans la prise en compte de tous ces éléments, le débat sur le jeu dévie pour tomber trop souvent sur des querelles dénuées de sens. Continuer à dire qu’Ancelotti est un bétonneur ou que le PSG joue avec trois récupérateurs, entretenir ces mensonges, c’est friser avec le degré zéro de l’analyse foot… »
Je suis en total accord avec lui .Le gros Ménes va nous saouler jusqu' a la fin de saison a dire qu' ancelotti est un bétonneur.On a une équipe en reconstruction , il faut pas s attendre a un jeu super fluide.Déja depuis l arrivée d Ancelotti , l équipe n est plus coupée en deux comme c était le cas avec A.K.
A noter qu' Ancelotti est tellement un bétonneur qu on marque plus de but en moyenne qu ' avec A.K. Toute façon ceux qui critiquaient le fait que l équipe était coupée en 2 avec A.K sont les memes qui disent que Paris bétonnent maintenant.
Je veux bien qu on critique notre club mais j aimerais qu on souligne aussi ce qui marche bien .Or on parle toujours que des cotés négatifs .A croire qu on ferait des jaloux
de toute façon on fera jamais l unanimité.et je pense que l arrivée du qatar a fait encore plus de jaloux.
maintenant je trouve idiot qu on compare le bilan de ak et ancelotti,puisqu il s n ont pas fait le meme nombre de matchs...bref.
ceci étant dit j attends d ici la fin de saison de l amélioration dans le jeu,car la depuis quelques matchs on est pas bien,ça c est plutot inquiétant.
Moi tout ce que je vois c est qu on a 51 points et qu on est premier en ayant quasiment changer toute l équipe.Apres beau jeu ou pas moi je m enfou déja je pensais pas qu on aurait fait un aussi beau parcours, Si on continue sur ce rythme on finira a presque 80 points ce qui est assez exceptionnel.Il faudra battre les équipes du haut du classement pour ça.Je m inquieterais un peu plus si Montpellier nous passe devant.Pour l instant c est pas le cas.
diego lugano- Messages : 154
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: Riolo répond au gros Ménes
diego lugano a écrit:allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:Daniel Riolo, via son blog personnel, a donné son point de vue sur le schéma tactique mis en place par l’entraineur parisien Carlo Ancelotti. Si certains trouvent son dispositif avec trois milieux de terrain très défensif, le journaliste de RMC est quant à lui d’un avis contraire et n’a pas hésité à le faire savoir à sa façon.
« Suite au PSG/Montpellier de dimanche, le débat autour du « jeu » s’est enflammé. A la tête du PSG depuis moins de deux mois et sept matches, Ancelotti est accusé de faire « mal jouer » son équipe. Une mise au point s’impose… « Le jeu du PSG est insipide car Ancelotti est un bétonneur ». Voilà en version à peine exagérée le commentaire entendu dimanche soir suite au sommet de la J24. Le propos est absolument délirant. Tout dans le passé de ce coach (influence, carrière) montre le contraire. Quant au présent, je signalais ici récemment que depuis qu’il est à Paris, le PSG avait marqué plus de buts que ce Montpellier que certains commentateurs ne vont pas tarder à comparer au Barça. Passons sur ces polémiques et ces avis dénués de raison et d’objectivité, motivés par des petits calculs d’épicier démago. Une sorte de cocktail entre anti-PSG, anti-oseille, culture Astérix bref le meilleur de la culture franchouillarde façon Dupont-Lajoie. Si on ajoute à ça l’élément guerre des chaînes, on n’est pas loin de toucher le fond… A la recherche de la meilleure formule, en pleine réflexion et construction d’équipe, Ancelotti n’est pas plus « défensif » que Mourinho, Hiddink, Ferguson, Capello, Lippi, Benitez ou encore Deschamps. Leur vision du jeu est globalement similaire. Elle tend vers ce que l’on pourrait appeler un pragmatisme de circonstance. Ancelotti peut même citer Sacchi comme maître (il a été son assistant) qui jusqu’à preuve du contraire était tout sauf un maçon. Reste qu’aujourd’hui, tout autre projet de jeu que celui du Barça, est grossièrement assimilé à un verrou obscène. Le PSG a aligné trois milieux défensifs devant Montpellier ! Horreur ! Mais qui a parlé de la nature des joueurs alignés, de ce qu’ils peuvent et savent faire ? Du mouvement global de l’équipe ? Peut-on aller au-delà d’une étiquette, d’un numéro, le 6, devenu visiblement maudit ? Quand Garcia aligne Pedretti, Mavuba et Balmont, le « Barça » du nord est-il honteux ? Et que dire d’un duo MBia/Diarra ? Pire d’un trio Lass/Alonso/Pepe, largement critiqué ici ? Et le jeu de Naples, souvent félicité dans les médias (le concept d’équipe sympa) axé sur le contre ? Les exemples sont légion et soyons clair, l’idée Barça existe peu. Bielsa, Wenger, Gourcuff chez nous, Luis Enrique, Van Gaal. C’est radical, sans concession, une sorte de dictature du beau jeu. L’idée existe donc mais elle n’est pas toujours gage de réussite. Et hors ce projet, qu’on se le dise, le salut existe. Certes, on peut difficilement parler de projet de jeu dans le foot moderne. C’est plus la gestion d’un groupe dans le but d’une efficacité maximale répondant à une exigence de résultats. Une équipe est alors composée d’individualités, plus ou moins fortes selon les moyens financiers du club. Le coach apparaît souvent comme un DRH. Tous indiquent que le travail sur l’humain représente 70% de leur activité. L’entraîneur au passé glorieux sera respecté, aura les bons réseaux et parviendra au binôme magique : crédibilité/légitimité. Ça n’a l’air de rien, mais aujourd’hui sans ce moteur, on n’obtient rien des joueurs. On est là dans la recherche du groupe qui « vit bien », prêt pour la fameuse « aventure humaine ». En face, les radicaux du « beau jeu » dont l’entreprise est plus périlleuse vont préférer toujours le jeune joueur, malléable car sans statut. Le jeu donc ? Tous les coaches vont parler de possession, de vitesse, de verticalité. Des choses évidemment plus aisées à mettre en place avec des joueurs techniques. Avec des éléments dits « décisifs », on est alors à la tête d’une équipe qui vise les titres. Qui peut dire et selon quels critères, qu’aujourd’hui Milan/le Real/Man City/Man Utd/Chelsea ou encore le Bayern… jouent bien ? Le profil de ces équipes est similaire. Des grands clubs, des très bons joueurs et une différence à chercher dans les 70% évoqués plus haut. L’OM de Deschamps aspire à faire partie de ce groupe. Le PSG d’Ancelotti aussi. Dans un entretien de Nene à FF, on lui demande si jouer avec trois récupérateurs face à Montpellier bla bla… On touche là un problème grave de notre culture française. Comment peut-on décemment parler de milieu récupérateur quand on évoque Motta ? Ce concept de récupérateur est affreux et signifie selon moi qu’on ne parle pas de joueurs de foot. D’athlètes peut-être mais pas de footeux ! Et je veux bien être pendu si Motta n’est pas un joueur de foot. Dans quel autre pays on énonce une compo d’équipe en disant « à la récupération »… A la récupération, Pirlo ? A la récupération Scholes ? Ce mot-là a eu son ambassadeur pendant longtemps chez les Bleus : Toulalan. Pourtant, ceux qui ont connu ce joueur à Nantes savent que c’était un joueur d’une grande finesse, capable d’organiser le jeu. Tout le contraire de ce qu’on a vu en EDF où la passe devant lui, l’expression de ses réelles qualités, lui semblait représenter un risque insupportable. La prise de risque assumée, la technique maîtrisée, la force mentale (gestion de l’environnement/pression/relâchement comme on dit au tennis), voilà les derniers éléments que le coach doit parvenir à trouver chez ses joueurs. Le Barça excelle dans ce domaine, le Real aussi, sauf contre le Barça… Et pour finir sur l’idée du risque, il faut être bien naïf pour considérer que l’ambition ultime se détermine en fonction du nombre d’attaquants alignés. Sans la prise en compte de tous ces éléments, le débat sur le jeu dévie pour tomber trop souvent sur des querelles dénuées de sens. Continuer à dire qu’Ancelotti est un bétonneur ou que le PSG joue avec trois récupérateurs, entretenir ces mensonges, c’est friser avec le degré zéro de l’analyse foot… »
Je suis en total accord avec lui .Le gros Ménes va nous saouler jusqu' a la fin de saison a dire qu' ancelotti est un bétonneur.On a une équipe en reconstruction , il faut pas s attendre a un jeu super fluide.Déja depuis l arrivée d Ancelotti , l équipe n est plus coupée en deux comme c était le cas avec A.K.
A noter qu' Ancelotti est tellement un bétonneur qu on marque plus de but en moyenne qu ' avec A.K. Toute façon ceux qui critiquaient le fait que l équipe était coupée en 2 avec A.K sont les memes qui disent que Paris bétonnent maintenant.
Je veux bien qu on critique notre club mais j aimerais qu on souligne aussi ce qui marche bien .Or on parle toujours que des cotés négatifs .A croire qu on ferait des jaloux
de toute façon on fera jamais l unanimité.et je pense que l arrivée du qatar a fait encore plus de jaloux.
maintenant je trouve idiot qu on compare le bilan de ak et ancelotti,puisqu il s n ont pas fait le meme nombre de matchs...bref.
ceci étant dit j attends d ici la fin de saison de l amélioration dans le jeu,car la depuis quelques matchs on est pas bien,ça c est plutot inquiétant.
Moi tout ce que je vois c est qu on a 51 points et qu on est premier en ayant quasiment changer toute l équipe.Apres beau jeu ou pas moi je m enfou déja je pensais pas qu on aurait fait un aussi beau parcours, Si on continue sur ce rythme on finira a presque 80 points ce qui est assez exceptionnel.Il faudra battre les équipes du haut du classement pour ça.Je m inquieterais un peu plus si Montpellier nous passe devant.Pour l instant c est pas le cas.
il t aura pas échappé qu on a perdu des points ces derniers tps...
on joue pas bien,et on a frolé la défaite contre montpellier.je te trouve bien optimiste.
Invité- Invité
Re: Riolo répond au gros Ménes
allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:Daniel Riolo, via son blog personnel, a donné son point de vue sur le schéma tactique mis en place par l’entraineur parisien Carlo Ancelotti. Si certains trouvent son dispositif avec trois milieux de terrain très défensif, le journaliste de RMC est quant à lui d’un avis contraire et n’a pas hésité à le faire savoir à sa façon.
« Suite au PSG/Montpellier de dimanche, le débat autour du « jeu » s’est enflammé. A la tête du PSG depuis moins de deux mois et sept matches, Ancelotti est accusé de faire « mal jouer » son équipe. Une mise au point s’impose… « Le jeu du PSG est insipide car Ancelotti est un bétonneur ». Voilà en version à peine exagérée le commentaire entendu dimanche soir suite au sommet de la J24. Le propos est absolument délirant. Tout dans le passé de ce coach (influence, carrière) montre le contraire. Quant au présent, je signalais ici récemment que depuis qu’il est à Paris, le PSG avait marqué plus de buts que ce Montpellier que certains commentateurs ne vont pas tarder à comparer au Barça. Passons sur ces polémiques et ces avis dénués de raison et d’objectivité, motivés par des petits calculs d’épicier démago. Une sorte de cocktail entre anti-PSG, anti-oseille, culture Astérix bref le meilleur de la culture franchouillarde façon Dupont-Lajoie. Si on ajoute à ça l’élément guerre des chaînes, on n’est pas loin de toucher le fond… A la recherche de la meilleure formule, en pleine réflexion et construction d’équipe, Ancelotti n’est pas plus « défensif » que Mourinho, Hiddink, Ferguson, Capello, Lippi, Benitez ou encore Deschamps. Leur vision du jeu est globalement similaire. Elle tend vers ce que l’on pourrait appeler un pragmatisme de circonstance. Ancelotti peut même citer Sacchi comme maître (il a été son assistant) qui jusqu’à preuve du contraire était tout sauf un maçon. Reste qu’aujourd’hui, tout autre projet de jeu que celui du Barça, est grossièrement assimilé à un verrou obscène. Le PSG a aligné trois milieux défensifs devant Montpellier ! Horreur ! Mais qui a parlé de la nature des joueurs alignés, de ce qu’ils peuvent et savent faire ? Du mouvement global de l’équipe ? Peut-on aller au-delà d’une étiquette, d’un numéro, le 6, devenu visiblement maudit ? Quand Garcia aligne Pedretti, Mavuba et Balmont, le « Barça » du nord est-il honteux ? Et que dire d’un duo MBia/Diarra ? Pire d’un trio Lass/Alonso/Pepe, largement critiqué ici ? Et le jeu de Naples, souvent félicité dans les médias (le concept d’équipe sympa) axé sur le contre ? Les exemples sont légion et soyons clair, l’idée Barça existe peu. Bielsa, Wenger, Gourcuff chez nous, Luis Enrique, Van Gaal. C’est radical, sans concession, une sorte de dictature du beau jeu. L’idée existe donc mais elle n’est pas toujours gage de réussite. Et hors ce projet, qu’on se le dise, le salut existe. Certes, on peut difficilement parler de projet de jeu dans le foot moderne. C’est plus la gestion d’un groupe dans le but d’une efficacité maximale répondant à une exigence de résultats. Une équipe est alors composée d’individualités, plus ou moins fortes selon les moyens financiers du club. Le coach apparaît souvent comme un DRH. Tous indiquent que le travail sur l’humain représente 70% de leur activité. L’entraîneur au passé glorieux sera respecté, aura les bons réseaux et parviendra au binôme magique : crédibilité/légitimité. Ça n’a l’air de rien, mais aujourd’hui sans ce moteur, on n’obtient rien des joueurs. On est là dans la recherche du groupe qui « vit bien », prêt pour la fameuse « aventure humaine ». En face, les radicaux du « beau jeu » dont l’entreprise est plus périlleuse vont préférer toujours le jeune joueur, malléable car sans statut. Le jeu donc ? Tous les coaches vont parler de possession, de vitesse, de verticalité. Des choses évidemment plus aisées à mettre en place avec des joueurs techniques. Avec des éléments dits « décisifs », on est alors à la tête d’une équipe qui vise les titres. Qui peut dire et selon quels critères, qu’aujourd’hui Milan/le Real/Man City/Man Utd/Chelsea ou encore le Bayern… jouent bien ? Le profil de ces équipes est similaire. Des grands clubs, des très bons joueurs et une différence à chercher dans les 70% évoqués plus haut. L’OM de Deschamps aspire à faire partie de ce groupe. Le PSG d’Ancelotti aussi. Dans un entretien de Nene à FF, on lui demande si jouer avec trois récupérateurs face à Montpellier bla bla… On touche là un problème grave de notre culture française. Comment peut-on décemment parler de milieu récupérateur quand on évoque Motta ? Ce concept de récupérateur est affreux et signifie selon moi qu’on ne parle pas de joueurs de foot. D’athlètes peut-être mais pas de footeux ! Et je veux bien être pendu si Motta n’est pas un joueur de foot. Dans quel autre pays on énonce une compo d’équipe en disant « à la récupération »… A la récupération, Pirlo ? A la récupération Scholes ? Ce mot-là a eu son ambassadeur pendant longtemps chez les Bleus : Toulalan. Pourtant, ceux qui ont connu ce joueur à Nantes savent que c’était un joueur d’une grande finesse, capable d’organiser le jeu. Tout le contraire de ce qu’on a vu en EDF où la passe devant lui, l’expression de ses réelles qualités, lui semblait représenter un risque insupportable. La prise de risque assumée, la technique maîtrisée, la force mentale (gestion de l’environnement/pression/relâchement comme on dit au tennis), voilà les derniers éléments que le coach doit parvenir à trouver chez ses joueurs. Le Barça excelle dans ce domaine, le Real aussi, sauf contre le Barça… Et pour finir sur l’idée du risque, il faut être bien naïf pour considérer que l’ambition ultime se détermine en fonction du nombre d’attaquants alignés. Sans la prise en compte de tous ces éléments, le débat sur le jeu dévie pour tomber trop souvent sur des querelles dénuées de sens. Continuer à dire qu’Ancelotti est un bétonneur ou que le PSG joue avec trois récupérateurs, entretenir ces mensonges, c’est friser avec le degré zéro de l’analyse foot… »
Je suis en total accord avec lui .Le gros Ménes va nous saouler jusqu' a la fin de saison a dire qu' ancelotti est un bétonneur.On a une équipe en reconstruction , il faut pas s attendre a un jeu super fluide.Déja depuis l arrivée d Ancelotti , l équipe n est plus coupée en deux comme c était le cas avec A.K.
A noter qu' Ancelotti est tellement un bétonneur qu on marque plus de but en moyenne qu ' avec A.K. Toute façon ceux qui critiquaient le fait que l équipe était coupée en 2 avec A.K sont les memes qui disent que Paris bétonnent maintenant.
Je veux bien qu on critique notre club mais j aimerais qu on souligne aussi ce qui marche bien .Or on parle toujours que des cotés négatifs .A croire qu on ferait des jaloux
de toute façon on fera jamais l unanimité.et je pense que l arrivée du qatar a fait encore plus de jaloux.
maintenant je trouve idiot qu on compare le bilan de ak et ancelotti,puisqu il s n ont pas fait le meme nombre de matchs...bref.
ceci étant dit j attends d ici la fin de saison de l amélioration dans le jeu,car la depuis quelques matchs on est pas bien,ça c est plutot inquiétant.
Moi tout ce que je vois c est qu on a 51 points et qu on est premier en ayant quasiment changer toute l équipe.Apres beau jeu ou pas moi je m enfou déja je pensais pas qu on aurait fait un aussi beau parcours, Si on continue sur ce rythme on finira a presque 80 points ce qui est assez exceptionnel.Il faudra battre les équipes du haut du classement pour ça.Je m inquieterais un peu plus si Montpellier nous passe devant.Pour l instant c est pas le cas.
il t aura pas échappé qu on a perdu des points ces derniers tps...
on joue pas bien,et on a frolé la défaite contre montpellier.je te trouve bien optimiste.
Je suis pas optimiste je constate qu on est premier et que ce soir on a un match super important pour la suite On parlera apres le match , pour l instant on a pas perdu .Je te trouve bien pessismiste moi perso.
diego lugano- Messages : 154
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: Riolo répond au gros Ménes
diego lugano a écrit:allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:Daniel Riolo, via son blog personnel, a donné son point de vue sur le schéma tactique mis en place par l’entraineur parisien Carlo Ancelotti. Si certains trouvent son dispositif avec trois milieux de terrain très défensif, le journaliste de RMC est quant à lui d’un avis contraire et n’a pas hésité à le faire savoir à sa façon.
« Suite au PSG/Montpellier de dimanche, le débat autour du « jeu » s’est enflammé. A la tête du PSG depuis moins de deux mois et sept matches, Ancelotti est accusé de faire « mal jouer » son équipe. Une mise au point s’impose… « Le jeu du PSG est insipide car Ancelotti est un bétonneur ». Voilà en version à peine exagérée le commentaire entendu dimanche soir suite au sommet de la J24. Le propos est absolument délirant. Tout dans le passé de ce coach (influence, carrière) montre le contraire. Quant au présent, je signalais ici récemment que depuis qu’il est à Paris, le PSG avait marqué plus de buts que ce Montpellier que certains commentateurs ne vont pas tarder à comparer au Barça. Passons sur ces polémiques et ces avis dénués de raison et d’objectivité, motivés par des petits calculs d’épicier démago. Une sorte de cocktail entre anti-PSG, anti-oseille, culture Astérix bref le meilleur de la culture franchouillarde façon Dupont-Lajoie. Si on ajoute à ça l’élément guerre des chaînes, on n’est pas loin de toucher le fond… A la recherche de la meilleure formule, en pleine réflexion et construction d’équipe, Ancelotti n’est pas plus « défensif » que Mourinho, Hiddink, Ferguson, Capello, Lippi, Benitez ou encore Deschamps. Leur vision du jeu est globalement similaire. Elle tend vers ce que l’on pourrait appeler un pragmatisme de circonstance. Ancelotti peut même citer Sacchi comme maître (il a été son assistant) qui jusqu’à preuve du contraire était tout sauf un maçon. Reste qu’aujourd’hui, tout autre projet de jeu que celui du Barça, est grossièrement assimilé à un verrou obscène. Le PSG a aligné trois milieux défensifs devant Montpellier ! Horreur ! Mais qui a parlé de la nature des joueurs alignés, de ce qu’ils peuvent et savent faire ? Du mouvement global de l’équipe ? Peut-on aller au-delà d’une étiquette, d’un numéro, le 6, devenu visiblement maudit ? Quand Garcia aligne Pedretti, Mavuba et Balmont, le « Barça » du nord est-il honteux ? Et que dire d’un duo MBia/Diarra ? Pire d’un trio Lass/Alonso/Pepe, largement critiqué ici ? Et le jeu de Naples, souvent félicité dans les médias (le concept d’équipe sympa) axé sur le contre ? Les exemples sont légion et soyons clair, l’idée Barça existe peu. Bielsa, Wenger, Gourcuff chez nous, Luis Enrique, Van Gaal. C’est radical, sans concession, une sorte de dictature du beau jeu. L’idée existe donc mais elle n’est pas toujours gage de réussite. Et hors ce projet, qu’on se le dise, le salut existe. Certes, on peut difficilement parler de projet de jeu dans le foot moderne. C’est plus la gestion d’un groupe dans le but d’une efficacité maximale répondant à une exigence de résultats. Une équipe est alors composée d’individualités, plus ou moins fortes selon les moyens financiers du club. Le coach apparaît souvent comme un DRH. Tous indiquent que le travail sur l’humain représente 70% de leur activité. L’entraîneur au passé glorieux sera respecté, aura les bons réseaux et parviendra au binôme magique : crédibilité/légitimité. Ça n’a l’air de rien, mais aujourd’hui sans ce moteur, on n’obtient rien des joueurs. On est là dans la recherche du groupe qui « vit bien », prêt pour la fameuse « aventure humaine ». En face, les radicaux du « beau jeu » dont l’entreprise est plus périlleuse vont préférer toujours le jeune joueur, malléable car sans statut. Le jeu donc ? Tous les coaches vont parler de possession, de vitesse, de verticalité. Des choses évidemment plus aisées à mettre en place avec des joueurs techniques. Avec des éléments dits « décisifs », on est alors à la tête d’une équipe qui vise les titres. Qui peut dire et selon quels critères, qu’aujourd’hui Milan/le Real/Man City/Man Utd/Chelsea ou encore le Bayern… jouent bien ? Le profil de ces équipes est similaire. Des grands clubs, des très bons joueurs et une différence à chercher dans les 70% évoqués plus haut. L’OM de Deschamps aspire à faire partie de ce groupe. Le PSG d’Ancelotti aussi. Dans un entretien de Nene à FF, on lui demande si jouer avec trois récupérateurs face à Montpellier bla bla… On touche là un problème grave de notre culture française. Comment peut-on décemment parler de milieu récupérateur quand on évoque Motta ? Ce concept de récupérateur est affreux et signifie selon moi qu’on ne parle pas de joueurs de foot. D’athlètes peut-être mais pas de footeux ! Et je veux bien être pendu si Motta n’est pas un joueur de foot. Dans quel autre pays on énonce une compo d’équipe en disant « à la récupération »… A la récupération, Pirlo ? A la récupération Scholes ? Ce mot-là a eu son ambassadeur pendant longtemps chez les Bleus : Toulalan. Pourtant, ceux qui ont connu ce joueur à Nantes savent que c’était un joueur d’une grande finesse, capable d’organiser le jeu. Tout le contraire de ce qu’on a vu en EDF où la passe devant lui, l’expression de ses réelles qualités, lui semblait représenter un risque insupportable. La prise de risque assumée, la technique maîtrisée, la force mentale (gestion de l’environnement/pression/relâchement comme on dit au tennis), voilà les derniers éléments que le coach doit parvenir à trouver chez ses joueurs. Le Barça excelle dans ce domaine, le Real aussi, sauf contre le Barça… Et pour finir sur l’idée du risque, il faut être bien naïf pour considérer que l’ambition ultime se détermine en fonction du nombre d’attaquants alignés. Sans la prise en compte de tous ces éléments, le débat sur le jeu dévie pour tomber trop souvent sur des querelles dénuées de sens. Continuer à dire qu’Ancelotti est un bétonneur ou que le PSG joue avec trois récupérateurs, entretenir ces mensonges, c’est friser avec le degré zéro de l’analyse foot… »
Je suis en total accord avec lui .Le gros Ménes va nous saouler jusqu' a la fin de saison a dire qu' ancelotti est un bétonneur.On a une équipe en reconstruction , il faut pas s attendre a un jeu super fluide.Déja depuis l arrivée d Ancelotti , l équipe n est plus coupée en deux comme c était le cas avec A.K.
A noter qu' Ancelotti est tellement un bétonneur qu on marque plus de but en moyenne qu ' avec A.K. Toute façon ceux qui critiquaient le fait que l équipe était coupée en 2 avec A.K sont les memes qui disent que Paris bétonnent maintenant.
Je veux bien qu on critique notre club mais j aimerais qu on souligne aussi ce qui marche bien .Or on parle toujours que des cotés négatifs .A croire qu on ferait des jaloux
de toute façon on fera jamais l unanimité.et je pense que l arrivée du qatar a fait encore plus de jaloux.
maintenant je trouve idiot qu on compare le bilan de ak et ancelotti,puisqu il s n ont pas fait le meme nombre de matchs...bref.
ceci étant dit j attends d ici la fin de saison de l amélioration dans le jeu,car la depuis quelques matchs on est pas bien,ça c est plutot inquiétant.
Moi tout ce que je vois c est qu on a 51 points et qu on est premier en ayant quasiment changer toute l équipe.Apres beau jeu ou pas moi je m enfou déja je pensais pas qu on aurait fait un aussi beau parcours, Si on continue sur ce rythme on finira a presque 80 points ce qui est assez exceptionnel.Il faudra battre les équipes du haut du classement pour ça.Je m inquieterais un peu plus si Montpellier nous passe devant.Pour l instant c est pas le cas.
il t aura pas échappé qu on a perdu des points ces derniers tps...
on joue pas bien,et on a frolé la défaite contre montpellier.je te trouve bien optimiste.
Je suis pas optimiste je constate qu on est premier et que ce soir on a un match super important pour la suite On parlera apres le match , pour l instant on a pas perdu .Je te trouve bien pessismiste moi perso.
moi je constate qu on a pris 2 points sur 6 depuis nice.et a ce rythme on restera pas premier.
maintenant oui on va attendre les résultats de ce soir.j espere un bon résultat a lyon.
Invité- Invité
Re: Riolo répond au gros Ménes
allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:allezparis_1 a écrit:diego lugano a écrit:Daniel Riolo, via son blog personnel, a donné son point de vue sur le schéma tactique mis en place par l’entraineur parisien Carlo Ancelotti. Si certains trouvent son dispositif avec trois milieux de terrain très défensif, le journaliste de RMC est quant à lui d’un avis contraire et n’a pas hésité à le faire savoir à sa façon.
« Suite au PSG/Montpellier de dimanche, le débat autour du « jeu » s’est enflammé. A la tête du PSG depuis moins de deux mois et sept matches, Ancelotti est accusé de faire « mal jouer » son équipe. Une mise au point s’impose… « Le jeu du PSG est insipide car Ancelotti est un bétonneur ». Voilà en version à peine exagérée le commentaire entendu dimanche soir suite au sommet de la J24. Le propos est absolument délirant. Tout dans le passé de ce coach (influence, carrière) montre le contraire. Quant au présent, je signalais ici récemment que depuis qu’il est à Paris, le PSG avait marqué plus de buts que ce Montpellier que certains commentateurs ne vont pas tarder à comparer au Barça. Passons sur ces polémiques et ces avis dénués de raison et d’objectivité, motivés par des petits calculs d’épicier démago. Une sorte de cocktail entre anti-PSG, anti-oseille, culture Astérix bref le meilleur de la culture franchouillarde façon Dupont-Lajoie. Si on ajoute à ça l’élément guerre des chaînes, on n’est pas loin de toucher le fond… A la recherche de la meilleure formule, en pleine réflexion et construction d’équipe, Ancelotti n’est pas plus « défensif » que Mourinho, Hiddink, Ferguson, Capello, Lippi, Benitez ou encore Deschamps. Leur vision du jeu est globalement similaire. Elle tend vers ce que l’on pourrait appeler un pragmatisme de circonstance. Ancelotti peut même citer Sacchi comme maître (il a été son assistant) qui jusqu’à preuve du contraire était tout sauf un maçon. Reste qu’aujourd’hui, tout autre projet de jeu que celui du Barça, est grossièrement assimilé à un verrou obscène. Le PSG a aligné trois milieux défensifs devant Montpellier ! Horreur ! Mais qui a parlé de la nature des joueurs alignés, de ce qu’ils peuvent et savent faire ? Du mouvement global de l’équipe ? Peut-on aller au-delà d’une étiquette, d’un numéro, le 6, devenu visiblement maudit ? Quand Garcia aligne Pedretti, Mavuba et Balmont, le « Barça » du nord est-il honteux ? Et que dire d’un duo MBia/Diarra ? Pire d’un trio Lass/Alonso/Pepe, largement critiqué ici ? Et le jeu de Naples, souvent félicité dans les médias (le concept d’équipe sympa) axé sur le contre ? Les exemples sont légion et soyons clair, l’idée Barça existe peu. Bielsa, Wenger, Gourcuff chez nous, Luis Enrique, Van Gaal. C’est radical, sans concession, une sorte de dictature du beau jeu. L’idée existe donc mais elle n’est pas toujours gage de réussite. Et hors ce projet, qu’on se le dise, le salut existe. Certes, on peut difficilement parler de projet de jeu dans le foot moderne. C’est plus la gestion d’un groupe dans le but d’une efficacité maximale répondant à une exigence de résultats. Une équipe est alors composée d’individualités, plus ou moins fortes selon les moyens financiers du club. Le coach apparaît souvent comme un DRH. Tous indiquent que le travail sur l’humain représente 70% de leur activité. L’entraîneur au passé glorieux sera respecté, aura les bons réseaux et parviendra au binôme magique : crédibilité/légitimité. Ça n’a l’air de rien, mais aujourd’hui sans ce moteur, on n’obtient rien des joueurs. On est là dans la recherche du groupe qui « vit bien », prêt pour la fameuse « aventure humaine ». En face, les radicaux du « beau jeu » dont l’entreprise est plus périlleuse vont préférer toujours le jeune joueur, malléable car sans statut. Le jeu donc ? Tous les coaches vont parler de possession, de vitesse, de verticalité. Des choses évidemment plus aisées à mettre en place avec des joueurs techniques. Avec des éléments dits « décisifs », on est alors à la tête d’une équipe qui vise les titres. Qui peut dire et selon quels critères, qu’aujourd’hui Milan/le Real/Man City/Man Utd/Chelsea ou encore le Bayern… jouent bien ? Le profil de ces équipes est similaire. Des grands clubs, des très bons joueurs et une différence à chercher dans les 70% évoqués plus haut. L’OM de Deschamps aspire à faire partie de ce groupe. Le PSG d’Ancelotti aussi. Dans un entretien de Nene à FF, on lui demande si jouer avec trois récupérateurs face à Montpellier bla bla… On touche là un problème grave de notre culture française. Comment peut-on décemment parler de milieu récupérateur quand on évoque Motta ? Ce concept de récupérateur est affreux et signifie selon moi qu’on ne parle pas de joueurs de foot. D’athlètes peut-être mais pas de footeux ! Et je veux bien être pendu si Motta n’est pas un joueur de foot. Dans quel autre pays on énonce une compo d’équipe en disant « à la récupération »… A la récupération, Pirlo ? A la récupération Scholes ? Ce mot-là a eu son ambassadeur pendant longtemps chez les Bleus : Toulalan. Pourtant, ceux qui ont connu ce joueur à Nantes savent que c’était un joueur d’une grande finesse, capable d’organiser le jeu. Tout le contraire de ce qu’on a vu en EDF où la passe devant lui, l’expression de ses réelles qualités, lui semblait représenter un risque insupportable. La prise de risque assumée, la technique maîtrisée, la force mentale (gestion de l’environnement/pression/relâchement comme on dit au tennis), voilà les derniers éléments que le coach doit parvenir à trouver chez ses joueurs. Le Barça excelle dans ce domaine, le Real aussi, sauf contre le Barça… Et pour finir sur l’idée du risque, il faut être bien naïf pour considérer que l’ambition ultime se détermine en fonction du nombre d’attaquants alignés. Sans la prise en compte de tous ces éléments, le débat sur le jeu dévie pour tomber trop souvent sur des querelles dénuées de sens. Continuer à dire qu’Ancelotti est un bétonneur ou que le PSG joue avec trois récupérateurs, entretenir ces mensonges, c’est friser avec le degré zéro de l’analyse foot… »
Je suis en total accord avec lui .Le gros Ménes va nous saouler jusqu' a la fin de saison a dire qu' ancelotti est un bétonneur.On a une équipe en reconstruction , il faut pas s attendre a un jeu super fluide.Déja depuis l arrivée d Ancelotti , l équipe n est plus coupée en deux comme c était le cas avec A.K.
A noter qu' Ancelotti est tellement un bétonneur qu on marque plus de but en moyenne qu ' avec A.K. Toute façon ceux qui critiquaient le fait que l équipe était coupée en 2 avec A.K sont les memes qui disent que Paris bétonnent maintenant.
Je veux bien qu on critique notre club mais j aimerais qu on souligne aussi ce qui marche bien .Or on parle toujours que des cotés négatifs .A croire qu on ferait des jaloux
de toute façon on fera jamais l unanimité.et je pense que l arrivée du qatar a fait encore plus de jaloux.
maintenant je trouve idiot qu on compare le bilan de ak et ancelotti,puisqu il s n ont pas fait le meme nombre de matchs...bref.
ceci étant dit j attends d ici la fin de saison de l amélioration dans le jeu,car la depuis quelques matchs on est pas bien,ça c est plutot inquiétant.
Moi tout ce que je vois c est qu on a 51 points et qu on est premier en ayant quasiment changer toute l équipe.Apres beau jeu ou pas moi je m enfou déja je pensais pas qu on aurait fait un aussi beau parcours, Si on continue sur ce rythme on finira a presque 80 points ce qui est assez exceptionnel.Il faudra battre les équipes du haut du classement pour ça.Je m inquieterais un peu plus si Montpellier nous passe devant.Pour l instant c est pas le cas.
il t aura pas échappé qu on a perdu des points ces derniers tps...
on joue pas bien,et on a frolé la défaite contre montpellier.je te trouve bien optimiste.
Je suis pas optimiste je constate qu on est premier et que ce soir on a un match super important pour la suite On parlera apres le match , pour l instant on a pas perdu .Je te trouve bien pessismiste moi perso.
moi je constate qu on a pris 2 points sur 6 depuis nice.et a ce rythme on restera pas premier.
maintenant oui on va attendre les résultats de ce soir.j espere un bon résultat a lyon.
On a fait un mauvais match a nice , il a changer de systeme , on va voir .On a bien réagit en fin de match contre montpellier.Maintenant si on veut le titre il faudra aller le chercher avec les tripes...Mais pour l instant il y a pas trop a s inquiéter je trouve..si on fait un mauvais match contre lyon je dirais peut etre autre chose.
diego lugano- Messages : 154
Date d'inscription : 27/01/2012
Re: Riolo répond au gros Ménes
Paaauleta a écrit:Bonne réponse de Riolo mais ça ne sert à rien, les gens ont envie de s'acharner sur le PSG et ils le feraient même si on gagnait tous nos matchs 5/0...
C'est comme ça depuis des années et ce sera encore le cas pendant un bon bout de temps. Faut juste savoir passer outre.
T'as raison, quand on gagne, c'est grace à l'oseille, quand on ne gagne pas, bah...l'argent ne fait pas tout...Entre jalousie, mauvaise foi et mechanceté, cette année tout le monde a son mot à dire sur le PSG. Rares sont ceux qui se sont rendu compte qu'hormis les resultats sportifs, l'arrivée du Qatar est une chance pour la L1.
deney- Messages : 3531
Date d'inscription : 10/09/2011
Age : 51
Localisation : Silent Hill
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