Pour Roger-Petit, Cavani sauve Laurent Blanc”
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Pour Roger-Petit, Cavani sauve Laurent Blanc”
Pour le moment, Cavani, et c’est son rôle, sauve non seulement le PSG, mais aussi Laurent Blanc… Dans le premier match de la saison, c’est lui qui avait déjà tiré le PSG d’un mauvais pas, face à Ajaccio, lui évitant la défaite à domicile. A Nantes, c’est lui qui avait marqué le but assommant les Canaris jusque là déchainés. A Athènes, c’est encore lui qui avait ouvert la marque, facteur déterminant en Ligue des Champions… Chaque fois, il fut l’auteur du but libérateur. C’est un fait incontournable.
En même temps, c'est un peu pour ça qu'on l'a recruté...
ARTICLE COMPLET :
Cavani a sauvé le PSG à Valenciennes. Il a du coup dissipé les premières interrogations nées à son sujet, au vu des statistiques du match qu’il a avait livré face à Monaco. La planète média du football est ainsi faite que le temps long en a été chassé. Quand l’OM fait deux matchs nuls, il est presque au bord du gouffre. Quand Cavani affiche une performance en demi-teinte contre Monaco, il est quasiment en situation d’échec à Paris. La vérité d’un moment, devient vérité ultime, en attendant la suivante. Et puis, il y a la réalité, celle du temps long. L’OM est 3e au classement, à un point de PSG, deux de Monaco, et Cavani a déjà marqué quatre buts pour le PSG, trois en Ligue 1, un en Ligue des Champions.
“Les statistiques, c’est le football que l’on n’aime pas” a dit un jour à l’auteur de ces lignes un ami animateur de télévision et de radio par ailleurs fan du PSG. Dans le fond, il avait bien raison. Et si un joueur illustre la justesse de cette sentence, c’est bien Cavani. Certes, ses “statistiques” au soir de PSG-Monaco n’étaient pas resplendissantes. Mais si l’on veut bien considérer son apport au PSG depuis le début de la saison, et les circonstances environnant les quatre buts qu’il a inscrits, le jugement à porter est tout autre.
Hier, à Valenciennes, c’est Cavani qui a marqué le but salvateur pour le compte d’un PSG, une nouvelle fois, empêtré dans une situation compliquée. Le tout sous l’œil de Laurent Blanc, cet étonnant entraineur, dont on ne sait toujours pas s’il sait où il va au PSG, entre 4-3-3 un jour, 4-4-2 le suivant, vrai faux 3-4-3 le suivant encore. Laurent Blanc, loué par un lobby de journalistes qui lui passent tout, critiqué à voix basse par d’autres, qui redoutent le lobby des confrères pro-Laurent Blanc mais qui attendent leur heure.
Donc, pour le moment, Cavani, et c’est son rôle, sauve non seulement le PSG, mais aussi Laurent Blanc… Dans le premier match de la saison, c’est lui qui avait déjà tiré le PSG d’un mauvais pas, face à Ajaccio, lui évitant la défaite à domicile. A Nantes, c’est lui qui avait marqué le but assommant les Canaris jusque là déchainés. A Athènes, c’est encore lui qui avait ouvert la marque, facteur déterminant en Ligue des Champions… Chaque fois, il fut l’auteur du but libérateur. C’est un fait incontournable.
Les statistiques d’El Matador n’ont pas été bonnes contre Monaco, mais si le PSG est aujourd’hui dans la roue de ce même Monaco en Ligue 1, s’il a réussi son entrée en Ligue des champions, c’est en grande partie grâce à lui. Faute de disposer d’un Cavani, par exemple, Lyon est aujourd’hui à 7 points de l’ASM… Comme le dit Gérard Houllier, parlant de l’attaquant uruguayen : “Ce qui compte, c’est l’usage qu’il fait des ballons touchés”, et de ce point de vue, l’apport de Cavani dans les moments clés est “importantissime”, voire “sublimissime”.
Les statistiques, c’est effectivement le football que l’on n’aime pas, car elles ne disent pas la vérité de l’Histoire. Exciper des statistiques contre Cavani, c’est injurier le football que l’on aime : celui des joueurs de génie et de talent, décisifs et déterminants, ces joueurs qui, d’un coup d’éclat, peuvent changer le cours d’un match, le sort de l’Histoire. A n’en pas douter, Cavani a un destin, et il faut se réjouir qu’il soit venu l’accomplir au PSG.
En même temps, c'est un peu pour ça qu'on l'a recruté...
ARTICLE COMPLET :
Cavani a sauvé le PSG à Valenciennes. Il a du coup dissipé les premières interrogations nées à son sujet, au vu des statistiques du match qu’il a avait livré face à Monaco. La planète média du football est ainsi faite que le temps long en a été chassé. Quand l’OM fait deux matchs nuls, il est presque au bord du gouffre. Quand Cavani affiche une performance en demi-teinte contre Monaco, il est quasiment en situation d’échec à Paris. La vérité d’un moment, devient vérité ultime, en attendant la suivante. Et puis, il y a la réalité, celle du temps long. L’OM est 3e au classement, à un point de PSG, deux de Monaco, et Cavani a déjà marqué quatre buts pour le PSG, trois en Ligue 1, un en Ligue des Champions.
“Les statistiques, c’est le football que l’on n’aime pas” a dit un jour à l’auteur de ces lignes un ami animateur de télévision et de radio par ailleurs fan du PSG. Dans le fond, il avait bien raison. Et si un joueur illustre la justesse de cette sentence, c’est bien Cavani. Certes, ses “statistiques” au soir de PSG-Monaco n’étaient pas resplendissantes. Mais si l’on veut bien considérer son apport au PSG depuis le début de la saison, et les circonstances environnant les quatre buts qu’il a inscrits, le jugement à porter est tout autre.
Hier, à Valenciennes, c’est Cavani qui a marqué le but salvateur pour le compte d’un PSG, une nouvelle fois, empêtré dans une situation compliquée. Le tout sous l’œil de Laurent Blanc, cet étonnant entraineur, dont on ne sait toujours pas s’il sait où il va au PSG, entre 4-3-3 un jour, 4-4-2 le suivant, vrai faux 3-4-3 le suivant encore. Laurent Blanc, loué par un lobby de journalistes qui lui passent tout, critiqué à voix basse par d’autres, qui redoutent le lobby des confrères pro-Laurent Blanc mais qui attendent leur heure.
Donc, pour le moment, Cavani, et c’est son rôle, sauve non seulement le PSG, mais aussi Laurent Blanc… Dans le premier match de la saison, c’est lui qui avait déjà tiré le PSG d’un mauvais pas, face à Ajaccio, lui évitant la défaite à domicile. A Nantes, c’est lui qui avait marqué le but assommant les Canaris jusque là déchainés. A Athènes, c’est encore lui qui avait ouvert la marque, facteur déterminant en Ligue des Champions… Chaque fois, il fut l’auteur du but libérateur. C’est un fait incontournable.
Les statistiques d’El Matador n’ont pas été bonnes contre Monaco, mais si le PSG est aujourd’hui dans la roue de ce même Monaco en Ligue 1, s’il a réussi son entrée en Ligue des champions, c’est en grande partie grâce à lui. Faute de disposer d’un Cavani, par exemple, Lyon est aujourd’hui à 7 points de l’ASM… Comme le dit Gérard Houllier, parlant de l’attaquant uruguayen : “Ce qui compte, c’est l’usage qu’il fait des ballons touchés”, et de ce point de vue, l’apport de Cavani dans les moments clés est “importantissime”, voire “sublimissime”.
Les statistiques, c’est effectivement le football que l’on n’aime pas, car elles ne disent pas la vérité de l’Histoire. Exciper des statistiques contre Cavani, c’est injurier le football que l’on aime : celui des joueurs de génie et de talent, décisifs et déterminants, ces joueurs qui, d’un coup d’éclat, peuvent changer le cours d’un match, le sort de l’Histoire. A n’en pas douter, Cavani a un destin, et il faut se réjouir qu’il soit venu l’accomplir au PSG.
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